Être psychologue, soignant ou accompagnant ne suffit pas à entendre ce que l’inconscient dépose dans une relation. La supervision est un espace à part : un lieu d’élaboration, d’affûtage, et parfois de déstabilisation utile. Un endroit où l’on interroge ses actes, ses résistances, ses oublis, ses transferts — pour mieux comprendre ce qui se joue dans l’autre et en soi. Qu’on soit psychologue, étudiant en psy, professionnel de santé, thérapeute, ou simplement engagé dans une fonction d’écoute, la supervision permet de ne pas rester seul face à ce qui échappe, dérange, ou mobilise trop.
Une situation clinique qui vous interpelle, vous résiste ou vous déstabilise Un transfert complexe, une résonance personnelle forte avec un patient Le besoin de prendre du recul sans vous désengager Des doutes sur votre posture, vos interventions, ou vos choix thérapeutiques Une envie de nourrir votre pratique et de rester en lien avec le mouvement de la pensée
1. Les supervisions peuvent se faire en individuel ou en groupe restreint, en ligne ou en présentiel. 2. Chacun vient avec ses cas, ses questions, ses impasses — dans un cadre confidentiel, souple, mais rigoureux. 3. Les séances durent 1h30, pour permettre un véritable travail de reprise, d’analyse, et de retissage autour de la situation présentée. 4. Le groupe, lorsqu’il est choisi, permet un croisement d’éclairages, sans jamais perdre l’écoute du sujet.
Parce que dans les métiers de l’écoute, ce qui nous travaille mérite aussi d’être déposé. Parce que penser ce que l’on fait, c’est aussi prendre soin de ce que l’on transmet. Et parce que la supervision n’est pas un contrôle, mais un espace vivant où l’on continue à se former — à sa manière, à son rythme, et dans sa subjectivité.